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Peut-on remettre en question les fondements de la médecine ? |
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Ryke Geer Hamer, spécialiste de médecine interne, s’y est risqué. Après s’être exercé à la médecine conventionnelle pendant vingt années de bons et loyaux services, il subit un événement fâcheux qui bouleversera sa vie. À la suite du décès accidentel de son fils, Ryke développe un cancer du testicule.
Le docteur Hamer fait un lien entre la mort de son fils et le développement de son cancer. Pour lui, il n’y a aucun doute, la maladie est la conséquence du choc qu’il a subi. Il éprouve le besoin d’en parler et poursuit ses investigations dans ce domaine. La clinique dans laquelle il travaille n’admet pas ses nouvelles théories, il manque même d’être expulsé.
Le docteur Hamer part du principe que le choc émotionnel qu’il a subi est la cause directe de son cancer. Il établit ce lien en le nommant DHS pour Dirk (du nom de son fils) Hamer Syndrome. Pour lui, ce drame engendre un conflit intérieur insoluble. La frustration est insupportable et il perçoit toutes les phases de dévalorisation et de colère. Il considère alors que le seul langage possible de l’organisme est la maladie.
Le fait qu’il analyse ce qui lui est arrivé et l’élève en principe fondamental n’est peut-être pas la meilleure chose qu’il est fait. Car à ce moment-là, il réduit en poussière des années de médecine traditionnelle. Hamer pense que le cancer ne connait d’autre origine que le DHS, c’est-à-dire le choc émotionnel. En fait, il exclut le fait qu’un virus ou un autre facteur puisse intervenir dans le processus de la maladie.
Bien que l’on sache que certains virus sont responsables du cancer, comme le papillomavirus, on sait aussi qu’ils ne le déclenchent pas systématiquement. Néanmoins, on sait que la probabilité pour que le patient développe un cancer est beaucoup plus grande.
Bref, Hamer ne tient compte d'aucunes recherches précédentes sur le sujet. Il va même jusqu’à stipuler que la maladie n’est pas déterminante, comme si au fond, elle ne se manifestait que pour souligner un mal-être.
En somme, un individu qui a conscience de l’origine de son mal peut guérir instantanément, il ne lui reste plus qu’à régler son problème.
Bien entendu, le docteur Hamer ne s’en tient pas qu’à cela, il va chercher à comprendre pourquoi le cancer se développe sur tel organe plutôt qu’un autre. Il cherche à établir des liens entre la cause et le point de départ de la maladie ;
Il évoque ensuite le stress et ses conséquences, la qualité du sang, les médications…
Il propose une médecine holistique ou l’écoute de l’être dans sa totalité organique et psychique. Ensuite, l’homme doit exercer son pouvoir de contrôle sur sa santé.
Je pense qu’il est difficile de déloger la médecine traditionnelle et même qu’il est vain de vouloir le faire. On ne peut que rester admiratif de ses avancées en matière de thérapie et de technologie. Certes, elle n’a pas réponse à tout, mais elle est une base solide. On peut chercher à apporter une prise de conscience sur un élément nouveau, élaborer des théories et faire avancer la recherche, mais il n’y a aucun intérêt à imposer une vision des choses sans la soumettre à l’épreuve de l’expérimentation et de la réflexion de ses paires.
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