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Cause commune des cancers ! |
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La croyance actuelle en matière de recherche médicale estime que le cancer commence par une mutation
génétique, en termes simples : avec des gènes blessés. La recherche a cependant permis une avancée
considérable en matière de compréhension de ces mécanismes.
Par exemple, il existe des tumeurs cancéreuses qui ne proviennent pas de gènes blessés.
Bien, mais alors, un gène, c’est quoi exactement ?
Un gène est un élément du chromosome qui produit des protéines.
Les protéines sont les principaux éléments constitutifs des cellules.
Qu’est-ce qu’un gène muté ? Un gène muté se comporte comme un gène blessé. Sa mutation n’est jamais
bénéfique pour l’organisme, puisqu’il se comporte d’une tout autre manière que les gènes normaux.
La croyance la plus répandue concernant le développement d’un cancer suggère une exposition de la personne
à des agents cancérigènes. Lorsqu’un gène est atteint, il mute, puis c’est autour d’un autre gène et ainsi de
suite. C’est une croyance tellement établie que toute la recherche va dans ce sens, tout l’argent est dépensé
pour en découvrir davantage sur la mutation des gènes. Mais, la vraie question que l’on peut se poser, et de
savoir si c’est bien la seule voie possible ?
En fait, nous savons à présent que la plupart des cancers ne surviennent pas forcément de la mutation des
gènes.
C’est un vrai mystère, car pour le cancer du sein par exemple, on s’aperçoit qu’il y a bien une diminution d’une
certaine protéine. On pourrait donc l’attribuer au gène responsable de sa fabrication. Il a été néanmoins
démontré que dans moins de 5 % des cas de cancer du sein, ce gène ne subit aucune mutation. On parle alors
d’une anomalie mystérieuse du gène.
Le Dr J. Raxit Jariwalla conclut dans le journal européen sur le cancer que la modification génétique n’est pas
l’élément déclencheur du cancer.
Qui donc est responsable du cancer ?
Un virus est un micro-organisme parasite et infectieux capable de se reproduire grâce à son matériel
génétique. On peut donc dire qu’un virus est constitué de gènes machiavéliques. S’il parvient à se loger dans le
noyau d’une cellule, alors il est capable de se dupliquer autant qu’il le souhaite.
Dans le cas du cancer du sein, se pourrait-il que le virus en question altère la production de la fameuse
protéine pendant que la tumeur est en pleine croissance ? C’est en tous les cas ce que certains chercheurs
pensent. Des virus pourraient être responsables de certaines maladies chroniques, dont le cancer du sein.
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