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Les émotions et le cancer |
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Les émotions négatives occasionneraient-elles des perturbations graves dans l’organisme au point de générer des cancers ?
Certaines caractéristiques ont été relevées chez les personnes atteintes de cancer. On peut les classer de la manière suivante :
Tendance à se surcharger d’activité.
Surmenage.
Besoin de rendre les autres heureux, parfois au détriment de sa propre personne.
Le manque de proximité avec l’un ou l’autre des parents ou les deux.
Perte d’un conjoint ou difficulté à vivre en harmonie avec ce dernier.
Manque d’affection, de reconnaissance.
Quand une personne est souvent réprimée, elle se nourrit d’émotions toxiques comme la colère, le ressentiment.
Si les émotions sont contenues, intériorisées, elles finissent par rendre malade.
Quelqu’un qui réagit négativement au stress devient souvent incapable de faire face aux aléas de la vie. Il arrive parfois qu’il se soit écoulé un à deux ans après un événement fâcheux et l’arrivée d’un cancer.
Les conflits émotionnels mal gérés depuis l’enfance.
L’expérience de rejet d’un des parents envers son enfant a des répercussions parfois désastreuses dans la vie de ce dernier. À l’âge adulte, il lui arrive souvent de revivre ce contexte douloureux dans une relation affective. Il est alors mal aimé, il souffre du manque d’affection que son conjoint bien souvent ne lui prodigue pas.
Le scénario se reproduit souvent à l’âge adulte. La caractéristique principale que l’on retrouve chez toutes les personnes qui souffrent du cancer, c’est qu’elles souffrent en silence.
L’autre caractéristique majeure provient de la manière dont une personne fait face au stress. Si un événement traumatique survient et qu’il échappe au contrôle de l’individu, tel que la perte d’un être cher, la perte d’un emploi ou celui d’une maison et qu’il a besoin de tout régenter, l’individu risque de se perdre, sans vraiment savoir comment affronter cette situation.
Les conséquences de ce stress favoriseront une baisse du système immunitaire. On sait à présent que les défenses immunitaires permettent d’empêcher la prolifération d’une cellule pathogène. Si elle échappe à sa surveillance, c’est que les défenses sont basses. Face à un traumatisme majeur, la personnalité prédisposée au cancer se sent piégée et incapable d’échapper à
la mémoire de son expérience traumatique. Les sentiments douloureux l’affectent profondément. Il se produit une sécrétion excessive de cortisol, ce qui augmente davantage le stress et diminue les défenses immunitaires. Le sommeil en est perturbé et la mélatonine est moins sécrétée. Quand on sait que la mélatonine est responsable de l’inhibition de la croissance des cellules cancéreuses, on comprend pourquoi la dépression nerveuse peut augmenter les risques de cancer. Le dérèglement hormonal est exponentiel et les conséquences le sont aussi.
Tout ce processus est croissant, exactement comme le développement d’un cancer. Ce parallèle est intéressant, quand on sait qu’il est lié au développement du cancer.
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